Julie Ouellet
27 SEPTEMBRE-3 NOVEMBRE 2024
Vernissage 27 septembre à 19h
Julie Ouellet a découvert l’art visuel à la suite de deux commotions cérébrales. Pendant sa convalescence, elle s’est jointe au cours de Mme Carole Cajolet, celle-ci polyvalente et qui maîtrise plusieurs médiums d’art, a sur faire ressortir l’artiste passionnées, derrière la femme, la mère et la travailleuse sociale.
Dans le cadre de son emploi, elle devait recourir à son imagination et user de plusieurs stratégies pour pouvoir rejoindre les jeunes et leurs familles, ayant eu un parcours de vie tumultueux. L’art a souvent réponse à tout.
L’art a apporté également de multiples bienfaits dans la vie personnelle de Julie, la TS en elle, jumelé à l’art lui ont révélé un nouveau chemin de vie, qu’est l’art-thérapie. Son cheminement dans le cadre de ses cours d’art, donné par sa talentueuse professeures ainsi que part l’énergie du groupe, lui ont permis d’évoluer autant artistiquement que personnellement.
Elle apprécie et remercie grandement La Maison de la culture ainsi que Madame Anie Parenteau de l’invitation à exposer les couleurs de sa vie.
Émilie Larose
4 NOVEMBRE 2024- 13 JANVIER 2025
Émilie Larose est passionnée par l'art visuel, surtout le dessin de portrait. Elle a étudié la photographie au Cégep-du-Vieux-Montréal et a travaillé comme travailleur autonome dans ce domaine pendant 10 ans. Elle a acquis de l'expérience dans les arts visuels et a perfectionné sa passion pour le dessin en étudiant différentes techniques lors de ses études en
photographie. Avec sa créativité et sa détermination, Émilie aspire à vivre de son art et à devenir une artiste accomplie et
reconnue.
HOMMAGE AU GRUNGE
Le projet d'exposition a pour but d'explorer comment les portraits d'icônes musicales peuvent raviver leur souvenir et leur héritage. Cette exposition met en lumière leur douleur et leur désespoir, face aux défis de leur temps. Cependant, leur musique transmet l'espoir, la transcendance et la paix, ainsi que leur histoire nous rappelle les enjeux passés. Bien que cette réalité ait été perdue, elle continue de vivre dans nos
souvenirs.
Les portraits peuvent être un moyen puissant de se connecter avec ces artistes et leur héritage, en les ramenant à la vie d'une manière nouvelle et émouvante. En honorant leur contribution à la musique, nous pouvons également découvrir de nouvelles perspectives sur leur vie et leur travail qui peuvent inspirer une nouvelle génération d'artistes.
Afin de donner vie aux acteurs clés du mouvement Grunge, j'ai commencé par écouter leur musique pour créer leur portrait. J'ai écouté leur message et j'ai essayé de vivre selon l'état d'esprit "Je m'en fiche" de l'époque, mais de manière constructive.
Observer le passé avec un regard actuel me donne une nouvelle perspective qui me permet de grandir tout en conservant les valeurs positives du mouvement Grunge dans ma vie quotidienne. Le mouvement Grunge a été une grande source d'inspiration pour moi dans le choix de mon médium artistique. Leur esthétique brute et anti-glamour correspond parfaitement au crayon à papier, au papier ainsi qu'à un rendu en noir et blanc minimaliste.
Valérie Simoneau
20 janvier 2025 - 3 mars 2025
Sur place, j’attends que les sujets soient dans une position idéale. Je ne peux pas expliquer ce que je désire je dirais que c’est instinctif!
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Assurément, les yeux donnent la lueur de vie, je recherche donc une étincelle, une lumière, une belle couleur. Les textures dans les poils, les plumes et dans les paysages, les ombres, c’est-à-dire que les noirs ainsi que les blancs pour les contrastes sont importants.
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Dans mon cours de photographie, j’ai eu la chance de développer des photos en chambre noire. C’est à ce moment que s’est installée la magie; une photo révélée peut donner naissance à une idéologie pure et naturelle, simple et efficace.
En quelque sorte, j’aimerais que la photographie soit l’art d’autrefois. Prendre la photo au bon moment sans trop ou sans jamais la modifier au post-traitement. Pour moi, transformer la photographie à l’ordinateur devient de l’infographie. Oui, de nos jours, le post-traitement prend de l’importance, peut-être trop...
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Avant de choisir une photographie à l’ordinateur, je dois la ressentir, en émotion, en souvenir ou en pensée. Je dois me rappeler le moment où je suivais les pas du sujet et me suis mise en mode observation, la joie que j’ai ressentie lorsque de jeunes renards ou des chevreuils se sont approchés de moi par curiosité!
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Ainsi, à chaque photo développée et encadrée se greffe une histoire personnelle.
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Toutes les fins de semaines, beau temps, mauvais temps, été comme hiver, j’éprouve un besoin inexplicable de sortir en forêt. Avec mes bottes de caoutchouc, mon sac photo et des craquelins, je pars à l’aventure.
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Tout le monde aime regarder une photographie, qu’il s’agisse de la nature, d’un animal ou d’un paysage urbain.
Malheureusement, l’art de la photographie se meurt; les images restent emprisonnées dans un cellulaire, les souvenirs ne s’impriment plus, on les oublie.
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Moi, je dis NON! Il faut mettre des photos sur nos murs!
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Sortir pour faire de la photographie est si gratifiant. J’ai, sans exagérer, plus de 10 000 photos à partager. La photographie est un très vieux métier auquel il faut redonner ses lettres de noblesse.
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Valérie Simoneau, photographe animalière-naturaliste.
Lise Desrosiers
4 mars 2025 - 14 avril 2025
Du plus loin que je me souvienne, j’ai ressenti le besoin de créer pour m’exprimer. Je m’amusais à capturer sur papier ce que la nature m’offrait. J’ai été inspirée par un père qui maîtrisait bien le dessin et une mère musicienne aux doigts de fée.
Rapidement, je me suis tournée vers l’art de la mode vestimentaire en adoptant le métier de designer qui m’a comblée pendant plusieurs années.
Parallèlement, la découverte de l’aquarelle et de ses difficultés m’ont amenée à travailler intensivement pour arriver à la maîtriser. Par la suite, j’ai exploré plusieurs médiums : pastel sec, huile et acrylique. Étant proche de l’aquarelle, c’est l’acrylique qui domine encore mon plaisir de création et qui s’impose à moi.
Au fil des ans, je me suis perfectionnée auprès de maîtres aquarellistes ainsi qu’en me formant au Centre D’art Ségal de Montréal et à l’Université Pearson à New-York.
J’aime faire de l’art figuratif en explorant de nouvelles techniques qui me motivent à aller plus loin. J’apprécie également travailler un thème qui m’interpelle en faisant ressortir un élément dont la beauté frappe le regard au premier coup d’oeil.
Mes œuvres se retrouvent dans de nombreuses collections au Canada, aux États-Unis et l’Europe
Lise DesRosiers